par bonnet » 17 avr. 2018, 20:43
Je n'ai su répondre à cette nouvelle en temps, car la perte d'un ou d'une (très) proche est un bouleversement affectif très intime, et on se sent souvent démuni d'apporter un réconfort tellement cette perte est une violence. Le plus dur est l'après, la solitude, regarder ce que l'etre que l'on aimait ne saura voir, les odeurs qui sont des souvenirs (moi le parfum des genets car mon papa m'emmenait aux champignons), des présences.... Je comprends tout
Je n'ai su répondre à cette nouvelle en temps, car la perte d'un ou d'une (très) proche est un bouleversement affectif très intime, et on se sent souvent démuni d'apporter un réconfort tellement cette perte est une violence. Le plus dur est l'après, la solitude, regarder ce que l'etre que l'on aimait ne saura voir, les odeurs qui sont des souvenirs (moi le parfum des genets car mon papa m'emmenait aux champignons), des présences.... Je comprends tout