Même sans ceinture ni bretelles, ça ne sera pas une raison pour baisser son pantalonJP a écrit :La petite ceinture ayant disparu, si on nous supprime aussi les bretelles du périph on est mal !
Tout ça me laisse sans voix...
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CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Extrait d'un article, je n'ai pas vérifié les chiffres mais ça semble assez plausible :
"selon des chercheurs japonais, l’empreinte carbone de la fabrication d’une voiture représente 24% du total.
Et, cela est vrai quelle que soit l’énergie utilisée par la voiture.
Ces chercheurs estiment qu’au Japon, si les voitures immatriculées entre 1990 et 2016 étaient restées 10 % plus longtemps sur la route, leur empreinte carbone aurait diminué de plus de 30 millions de tonnes.
Ils ajoutent que si le temps de circulation de ces voitures avait été réduit afin de les remplacer par des voitures électriques, l’empreinte carbone des voitures aurait augmenté de 42 millions de tonnes. "
Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas passer à l'électrique, juste que c'est un peu expéditif de condamner à la ferraille tout un parc de véhicules en bon état en lui collant des vignettes culpabilisantes...
Mais bon, ici je prêche des convaincus...
"selon des chercheurs japonais, l’empreinte carbone de la fabrication d’une voiture représente 24% du total.
Et, cela est vrai quelle que soit l’énergie utilisée par la voiture.
Ces chercheurs estiment qu’au Japon, si les voitures immatriculées entre 1990 et 2016 étaient restées 10 % plus longtemps sur la route, leur empreinte carbone aurait diminué de plus de 30 millions de tonnes.
Ils ajoutent que si le temps de circulation de ces voitures avait été réduit afin de les remplacer par des voitures électriques, l’empreinte carbone des voitures aurait augmenté de 42 millions de tonnes. "
Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas passer à l'électrique, juste que c'est un peu expéditif de condamner à la ferraille tout un parc de véhicules en bon état en lui collant des vignettes culpabilisantes...
Mais bon, ici je prêche des convaincus...
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Il nous reste encore une possibilité d'agir. Lors des prochaines elections presidentielles.....
De plus , une personne parmis les candidats, qui est bien placée pour expliquer son bilan sur la ville de Paris. Faudra juste pas l'oublier.
Sans faire de la politique , ce n'est pas elle que j'irais voter quand je vois le bordel sur Paris. Qu'elle reste là bas , ca nous arrange.
De plus , une personne parmis les candidats, qui est bien placée pour expliquer son bilan sur la ville de Paris. Faudra juste pas l'oublier.
Sans faire de la politique , ce n'est pas elle que j'irais voter quand je vois le bordel sur Paris. Qu'elle reste là bas , ca nous arrange.
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Contre Bruxelles, Carlos Tavares annonce le chaos social. Et s'il avait raison ?
Pierre Arette 21 janvier 2022
Ce 18 janvier, le patron du jeune groupe automobile Stellantis n'a pas mâché ses mots à l'encontre de la politique industrielle imposée de la Commission européenne.
Il lui adresse par le biais d'une interview faite à Paris et publiée simultanément par Cquatre journaux européens (Les Échos, Handelsblatt, Corriere della Sera, El Mundo)
- une sévère mise en garde quant aux conséquences sociales graves que risque d'entraîner son plan de décarbonation de l'industrie automobile par le tout électrique.
Déjà, en décembre 2021, le grand patron avertissait en ces termes, lors d'une visioconférence mondialisée du sommet Reuters Next : « Ce qui a été décidé, c'est d'imposer à l'industrie automobile une électrification qui ajoute 50 % de coûts additionnels à un véhicule conventionnel. Il est impossible que nous répercutions 50 % de coûts additionnels au consommateur final, parce que la majeure partie de la classe moyenne ne sera pas capable de payer. »
Carlos Tavares n'a pas changé d'avis. Il pointe divers écueils que les technocrates idéologisés ne semblent pourtant pas redouter.
Le risque environnemental, d'abord, puisque, dit-il, « un véhicule électrique doit rouler 70.000 km pour compenser la mauvaise empreinte carbone de fabrication de la batterie et commencer à creuser l'écart avec un véhicule hybride léger ».
La casse industrielle, ensuite, devant la difficulté constatée des constructeurs pour limiter les surcoûts de la production électrique et celle des sous-traitants pour s'adapter rapidement dans un secteur déjà sinistré au profit des fournisseurs asiatiques. « Nous verrons dans quelques années les constructeurs qui auront survécu et les autres », prédit le patron de Stellantis.
La fronde sociale, enfin, qui viendra, selon lui, de l'incapacité des classes moyenne à s'équiper, faute de budget conséquent. Et de poser cette question : « Faut-il des véhicules 100 % électriques que les classes moyennes ne pourront pas se payer, tout en demandant aux États de continuer à creuser le déficit budgétaire pour les subventionner ? »
En défendant sa vision de la liberté de l'entreprise, en voulant la soustraire aux contraintes de la politique de « commissaires » hors-sol, le patron de Stellantis n'entend pas seulement protéger le groupe qu'il préside. En 2019, déjà, il fustigeait la « pensée unique » et son nouveau bréviaire : « Jusqu'à quand les citoyens européens se laisseront-ils dicter par la pensée unique ce qui est bien ou mal ? » Et il avertissait que les objectifs climatiques de l'Union européenne porteraient atteinte à la « liberté de mouvement » prétendument universelle.
Aujourd'hui, en industriel raisonnable, Carlos Tavares nous alerte et prévient : «C'est la brutalité du changement qui crée le risque social. » Nos « censeurs » de l'Union européenne n'ont à la bouche que les valeurs de la Déclaration des libertés fondamentales de 1789 ou de son expansion humaniste de 1948. Ils s'en drapent pour mieux les fouler allègrement et imposer aux peuples d'Europe leur « meilleur des mondes ». Un monde idéal, fondé sur la ruine de la liberté de choix par la dépossession économique des individus et l'asservissement politique des nations.
Quand le chaos viendra, semble nous dire Tavares, pourront-ils s'excuser en disant qu'ils ne savaient pas ?
Pierre Arette 21 janvier 2022
Ce 18 janvier, le patron du jeune groupe automobile Stellantis n'a pas mâché ses mots à l'encontre de la politique industrielle imposée de la Commission européenne.
Il lui adresse par le biais d'une interview faite à Paris et publiée simultanément par Cquatre journaux européens (Les Échos, Handelsblatt, Corriere della Sera, El Mundo)
- une sévère mise en garde quant aux conséquences sociales graves que risque d'entraîner son plan de décarbonation de l'industrie automobile par le tout électrique.
Déjà, en décembre 2021, le grand patron avertissait en ces termes, lors d'une visioconférence mondialisée du sommet Reuters Next : « Ce qui a été décidé, c'est d'imposer à l'industrie automobile une électrification qui ajoute 50 % de coûts additionnels à un véhicule conventionnel. Il est impossible que nous répercutions 50 % de coûts additionnels au consommateur final, parce que la majeure partie de la classe moyenne ne sera pas capable de payer. »
Carlos Tavares n'a pas changé d'avis. Il pointe divers écueils que les technocrates idéologisés ne semblent pourtant pas redouter.
Le risque environnemental, d'abord, puisque, dit-il, « un véhicule électrique doit rouler 70.000 km pour compenser la mauvaise empreinte carbone de fabrication de la batterie et commencer à creuser l'écart avec un véhicule hybride léger ».
La casse industrielle, ensuite, devant la difficulté constatée des constructeurs pour limiter les surcoûts de la production électrique et celle des sous-traitants pour s'adapter rapidement dans un secteur déjà sinistré au profit des fournisseurs asiatiques. « Nous verrons dans quelques années les constructeurs qui auront survécu et les autres », prédit le patron de Stellantis.
La fronde sociale, enfin, qui viendra, selon lui, de l'incapacité des classes moyenne à s'équiper, faute de budget conséquent. Et de poser cette question : « Faut-il des véhicules 100 % électriques que les classes moyennes ne pourront pas se payer, tout en demandant aux États de continuer à creuser le déficit budgétaire pour les subventionner ? »
En défendant sa vision de la liberté de l'entreprise, en voulant la soustraire aux contraintes de la politique de « commissaires » hors-sol, le patron de Stellantis n'entend pas seulement protéger le groupe qu'il préside. En 2019, déjà, il fustigeait la « pensée unique » et son nouveau bréviaire : « Jusqu'à quand les citoyens européens se laisseront-ils dicter par la pensée unique ce qui est bien ou mal ? » Et il avertissait que les objectifs climatiques de l'Union européenne porteraient atteinte à la « liberté de mouvement » prétendument universelle.
Aujourd'hui, en industriel raisonnable, Carlos Tavares nous alerte et prévient : «C'est la brutalité du changement qui crée le risque social. » Nos « censeurs » de l'Union européenne n'ont à la bouche que les valeurs de la Déclaration des libertés fondamentales de 1789 ou de son expansion humaniste de 1948. Ils s'en drapent pour mieux les fouler allègrement et imposer aux peuples d'Europe leur « meilleur des mondes ». Un monde idéal, fondé sur la ruine de la liberté de choix par la dépossession économique des individus et l'asservissement politique des nations.
Quand le chaos viendra, semble nous dire Tavares, pourront-ils s'excuser en disant qu'ils ne savaient pas ?
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Belle mise en garde, somme toute pleine de bon sens. Nos politiques n'écoutent plus les industriels malheureusement....
C'est dur d'échouer, mais c'est pire de n'avoir jamais essayé de réussir.
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
La modernisation nous oblige à acquérir de l'électrique, mais est ce vraiment écolo ?
Moi, aujourd'hui, tu me propose une caisse "moderne", franchement, je sais pas quoi acheter. je préfère mes "anciennes" .
Moi, aujourd'hui, tu me propose une caisse "moderne", franchement, je sais pas quoi acheter. je préfère mes "anciennes" .
Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Ok sur le fond, mais je ne pense pas que la CE soit vraiment responsable, c'est plutôt le résultat d'une vague globale de politiciens arrivistes et d'écologistes alarmistes et incompétents (tous ne sont pas comme ça) qui intoxiquent la sphère publique.
Ce sont plutôt eux les pollueurs !
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Cabs : 2o4 70, 5o4 72, Alfa 68 et 75, Cox 77, Opel Speedster, CLK + le break 2o4 Océan
Motos : XL 250, MTX 200, Sherpa 350, Flandria
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Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
ça vient de sortir
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/grand ... 3-20220201
surtout, n'y voyons aucun lien avec les échéances électorales à venir ...
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/grand ... 3-20220201
surtout, n'y voyons aucun lien avec les échéances électorales à venir ...
Alain
Elisa 204 cabriolet 69 beige métallisé
Berlingo AMI 6 break 67 beige nankin
Membre N°2
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Berlingo AMI 6 break 67 beige nankin
Membre N°2
Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
«Déjà adopté par 231 villes ou métropoles européennes», la ZFE est reconnue «comme particulièrement efficace pour réduire les émissions de polluants provenant du trafic routier», souligne la MGP sur son site.sundgau80 a écrit :ça vient de sortir
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/grand ... 3-20220201
surtout, n'y voyons aucun lien avec les échéances électorales à venir ...
Tu m'étonnes ! il ne vont pas dire que leur dispositif a des résultats mitigés...
Re: CONTRE LE PROJET D'INTERDICTION DES VOITURES, MOTOS etc
Si au moins ils citaient leurs sources...jp5892 a écrit :«comme particulièrement efficace pour réduire les émissions de polluants provenant du trafic routier», souligne la MGP sur son site.
Tu m'étonnes ! il ne vont pas dire que leur dispositif a des résultats mitigés...
Coluche toujours d'actualité : on s'autorise à penser dans les milieux autorisés qu'éventuellement peut-être c'est même pas sûr…
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